A tous ceux qui viennent faire un séjour de quelques jours chez nous, nous conseillons immanquablement de se rendre à Foix. Foix, préfecture de l’Ariège avec son château du XIIe siècle, ses vieilles maisons médiévales, ses rues pleines de charme mérite en effet un détour.

C’est bien sûr dans la vieille ville qu’il faut se rendre. Le vendredi jour de marché cette petite ville ne manque pas d’activité. Sous la halle les acheteurs se pressent près des stands de produits locaux.

Près de l’abbatiale St Volusien d’autres producteurs vendent de bien beaux légumes bio.

En flanant dans le quartier médiéval de jolies petites boutiques méritent que l’on pousse leur porte. Cela est vrai surtout pour la maison Savignac. Ici l’on fabrique des couteaux et à juste regarder la vitrine on sent le sérieux de l’entreprise.

C’est dans les petites rues médiévales que nous avons testé aussi le restaurant Le Guarana. On nous l’avait conseillé et nous le conseillerons maintenant à notre tour à nos visiteurs qui doivent aussi connaître les bonnes adresses de notre département : Carré de l’Ange à St Lizier, maison Lacube aux Cabannes entre autres.

L’accueil ici est chaleureux. Deux serveurs prévenants et souriants (c’est déjà bon signe) s’activent et ne font pas attendre les clients. Un petit menu est proposé le midi et pour les amateurs de poisson le choix et la qualité sont là.


Visiblement ici sont attablés des habitués amateurs de bons petits plats. Le Guarana est une maison sérieuse, nous confirmons!


Petit tour encore dans les petites rues avant de retrouver le massatois. Foix nous n’y venons pas si souvent finalement. Le réflexe a toujours été de se rendre à St Girons peut être à cause du Col de Port qui l’hiver était un obstacle. A Foix nous y allions lycéens passer nos examens puis bien plus tard pour les faire passer. La ville reste pour nous la ville de Gaston Phoebus comte du Béarn même s’il séjourna peu au château de Foix. Sa devise nous plaît beaucoup et est bien adaptée à cette terre de résistance et au tempérament bien trempé des ariégeois : Tòca i se gausas (touche y si tu oses)
