Après un Noël hors des murs, nous sommes assez vite rentrés au Péré pour préparer la venue de nos hôtes venant fêter chez nous la nouvelle année.
Un petit changement d’air (même si nous avons quitté le Péré pour l’air pollué de la capitale) fait le plus grand bien. Ce n’est pas que la ville nous manque, Toulouse n’est pas si loin, mais de temps en temps comme les papillons nous sommes attirés par les lumières surtout en cette période de fête. Noël se fêta donc à Paris où réside notre fille Madeleine.
Et puis nous avions prévu d’assister, à la création d’Ariane Mouchkine à la cartoucherie de Vincennes… nous avions tellement apprécié notre première visite au théâtre du soleil! L’immense hall si bien décoré, les comédiens bien visibles dans leurs loges, la simplicité de cette grande dame qu’est Ariane Mouchkine, le lieu fait rêver… malheureusement Une chambre en Inde ne nous a guère séduits. Pas plus d’ailleurs que le film vu le soir de Noël Paterson que la critique a encensé, mais nous étions ensemble, voilà l’essentiel !
Donc après avoir passé Noël avec notre fille, but premier de notre visite à Paris, après avoir vu les massatois devenus parisiens, il était temps pour nous de penser table d’hôtes et de faire un bon menu pour le 31 décembre.
C’est par une nuit bien étoilée que s’en est allée l’année 2016 et qu’est arrivée 2017 sans tambours ni trompettes. Nos hôtes espagnols et montpelliérains ont pu profiter tout au long de leur séjour de paysages superbes, de grands feux de bois, de petits plats maison… et voici ce que nous leur avions concocté :
Avec les bulles de l’apéritif nous avions servi les carrés de farci (spécialité massatoise). Ils font toujours l’unanimité! Un, puis encore un autre, les quantités diminuent très vite…

Nous sommes passés ensuite à la salade gourmande agrémentée de noix et de magrets séchés. La daube de sanglier constituait notre plat de résistance. Le gibier mariné deux jours durant, mijota six heures dans la cocotte en fonte près du feu. Accompagné d’un riz pilaf tout le monde s’en délecta si bien que le fromage n’eut pas grand succès.
La bûche aux griottes faite maison (accompagnée de bulles bien sûr) termina ce repas festif où les vœux furent échangés devant le feu.

Il ne nous reste plus qu’ à souhaiter que se poursuivent d’aussi beaux échanges que ceux qui ont terminé l’année 2016 au Péré !
Miam miam ça donne faim tout ça ! Belle année 2017 à vous !
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Merci pour votre commentaire… j’espère un jour avoir l’occasion de vous faire un bon petit plat. Très belle année à vous aussi!
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Je l’espère aussi ! Nous sommes un peu loin (en Bretagne) mais nous adorons la montagne alors sait-on jamais 🙂
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Je ne connais pas du tout la Bretagne, je ne sais pas pourquoi j’imagine une certaine similitude entre bretons et ariégeois!
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C’est toujours agréable de faire un petit passage à Paris, surtout pour passer du temps en famille ou entre amis ! Cela dit, pour ma part, je suis toujours contente d’en repartir avant que son effervescence ne m’étouffe.
Vos petits plats mettent l’eau à la bouche !
La neige est-elle prévue pour chez vous ce week end ?
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Le Péré est sous la neige, mais pas de la belle neige une sorte de gadoue et un brouillard enveloppant désagréable. Des chutes plus importantes sont prévues demain…
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